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L'Étendue Mwangi est le terme désignant l'intérieur sauvage du continent du Garund. Elle est limitée au nord par les terres de Rahadoum, Thuvie, et Osirion, à l'est par le Katapesh, Nex, la Désolation de Mana et le Geb, et à l'ouest par les Terres Détrempées, les Entraves et la colonie chélaxienne de la Sargave. Elle s'étend également vers le sud, au delà de la Région de la Mer Intérieure.

Il y a peu de rapports parlant de la région ayant à fait avec les étrangers, mis à part les activités anti-coloniales de la cité de Mzali. Au lieu de celà, les étrangers - notamment le Consortium d'Aspis - viennent jusque dans l'étendue à la recherche de trésors. Les dangers habituels de la jungle sont empirés par l'existence d'esprits maléfiques, plantes conscientes, et de cultes Juju. Mais les légendes de cités perdues d'or et de richesses incroyables continuent d'attirer des visiteurs.

Des richesses ont été trouvées dans la région, et l'existence de bateaux lourdement chargés de trésors allant au nord, vers l'Avistan, au départ de Baie Sanglante, Senghor, et Éléder, a encouragé les pirates des Entraves à les prendre pour cible.

Histoire[]

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Les explorateurs chélaxiens sont arrivés pour la première fois dans l’étendue Mwangi quand l’insidieux Consortium d'Aspis établit une tête de pont dans un port insalubre appelé Baie Sanglante, à l’embouchure du puissant fleuve Vanji. C’est à partir de là que ses méticuleux agents se sont appropriés et ont exploité les ressources exotiques des très riches terres intérieures de l’Étendue Mwangi.

Une autre vague d’explorateurs arriva quelques siècles plus tard, en 4138 AR sous le règne de l’expansionniste prince Haliad Ier, et fonda la colonie qui devait devenir la Sargave. La mer à l’ouest du Garund était plus calme en ces temps-là. Les Mwangi exclus et les seigneurs-pirates exilés parvenaient à coexister de manière presque pacifique sur les îles des Entraves, et leur flotte ne s’était pas encore développée en une véritable menace navale.

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Le Vieux-Mage Jatembe

Les nombreuses richesses qui voyageaient vers le nord au départ de Baie Sanglante, de Senghor et d’Éléder ont cependant attiré de plus en plus de pirates. Et l’apparition de l’Œil d'Abendégo dans les premières semaines de l’Âge des Prédictions Perdues, en 4606 AR, a pratiquement isolé les efforts coloniaux du reste du monde. Alors que l'Âge des Ténèbres laissait place à l'Âge de l'Angoisse, le légendaire héros Vieux-Mage Jatembe et les Dix Guerriers Magiques firent de leur mieux pour rétablir la civilisation. Ils défirent le sorcier Roi des Fourmis Mordantes au Portail vers l’Étoile Rouge, et établirent l'académie de magie de Magaalbya à Nantambu.

Les récits de ces premiers explorateurs et colons sont remontés vers le nord jusqu’aux oreilles des marchands opportunistes, des chercheurs de trésor en quête d’excitation et d’Éclaireurs rusés. Les histoires parlaient de cités perdues et de Rois-Gorilles, de religions déjà anciennes au moment où la Pierre-Étoile est tombée sur Golarion et de richesses que même les esprits les plus imaginatifs ne peuvent concevoir.

Durant l'Âge du Destin, les merveilleuses cité volantes du Shory survolèrent le territoire, et au moins l'une d'entre elles eut une fin tragique - comme démontré par les Ruines de Kho, et possiblement Ulduvai - mais il n'y a aucune preuve qu'elles aient eue une quelconque connexion avec la région.

A une époque, les jungles septentrionales de l’Étendue étaient dirigées par une ancienne nation elfique.

La cité d'Usaro, sur la rive sud du Lac Ocota, est le lieu de vie de singes sanguinaires et de Charau-Ka vénérant Angazhan. Menés par le Roi-Gorille, ils s'assurent que le cœur de l'Etendue Mwangi reste à jamais hostile à toute vie humanoïde.

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L'unification des pirates des Entraves en 4674 AR à eu diverses implications dans le passage des biens à travers l’Étendue, bien que ce soient les pirates eux-même qui établirent le port libre de Baie Sanglante, par lequel la plupart des richesses de la région passent pour aller en Avistan.

C’est dans les jungles intérieures du Garund que sont éparpillées certaines des plus vieilles ruines humaines du monde, brisées par les puissantes racines qui s’y sont infiltrées et rendues lisses par le passage des millénaires. Les membres des tribus recluses desquelles les forêts et les étendues sauvages tirent leur nom descendent de royaumes oubliés assez avancés, mais ils s’en sont fortement éloignés au cours des millénaires qui ont suivi leur apogée. Aujourd’hui, leur glorieux passé reste un mystère non seulement pour le monde extérieur, mais aussi pour eux.

Géographie[]

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La région est dominée par le Lac Ocota, les nombreuses rivières drainant le lac - la plus imposante étant le Vanji - et la Jungle Mwangi qui les entoure. Cependant, il y a deux autres jungles : les Terres de Kaava au sud-ouest, et la Jungle Hurlante au sud-est. Les deux autres lacs principaux sont le Lac Terwa et le Lac des Armées Diparues.

Les montagnes de la Barrière marquent la frontière nord de l'Etendue, tandis que les Pics d'Airain et la Chaîne Brisée forment sa frontière est. La Passe de Kho Rarne relie la région à l'Osirion, tandis que la Passe de Ndele mène au Nex. Les forces du Roi-Gorille utilisent les tunnels sous la Chaîne Brisée pour attaquer Alkenastre, mais suite au raid couronné de succès de 4690 AR, les forces d'Alkenastre firent effondrer les tunnels.

Les autres régions de terre significatives sont les Terres de Terwa et les Collines de Bandu.

Sites d'intérêt[]

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Voir Baie Sanglante

Cette ville éparpillée construite parmi les racines de douzaines de palétuviers combine les pires aspects des territoires sauvages et brutaux des Mwangi - où il s’agit de « tuer ou être tué » - avec les cruelles déprédations de la loi des pirates et la philosophie du chacun-pour-soi du Consortium d'Aspis. C’est de là que partent les nombreuses richesses dérobées dans l’étendue Mwangi. Les agents de la société Aspis qui vont et viennent sur le Vanji cherchent sans relâche de nouveaux butins, tout en continuant à envoyer un flux incessant de trésors provenant de tous les coins de la région.

Collines de Bandu

Les collines désolées de Bandu coupent la partie sud-est de l’étendue et abritent des esprits affamés, des morts colériques et des prédateurs difformes dans les ruines d’anciennes civilisations oubliées. Le mont Nakyuk - le plus haut de cette vieille chaîne érodée - et ses contreforts attirent depuis longtemps les indigènes et les explorateurs étrangers qui viennent creuser la pierre à la recherche des riches veines de métaux courant au-dessous. Ces dernières produisent énormément d’or et une quantité non négligeable d’émeraudes et de saphirs, certes de petite taille, mais souvent sans défaut.

Jaha

De nombreuses histoires parlent de Jaha, la grande cité en ruine située au cœur des jungles du nord, une étonnante agglomération de forteresses et de cours irrégulières. On dit que cette merveilleuse cité aux multiples terrasses couvertes de plantes grimpantes a été extraite des profondeurs de la terre à une époque où les humains et même les elfes n’existaient pas encore, par de grandes créatures inconnues et étrangement proportionnées qui ont péri ou sont parties depuis longtemps.

Contrairement aux tombes silencieuses de son sous-sol, datant d’avant la Chute, la ville en ruine est bien vivante. Elle est dirigée par des astrologues paranoïaques aux yeux fous descendant des Lirgénites, un peuple éradiqué de la surface de Golarion par les désastres, la folie et le suicide. Les prophéties et les dogmes des mystiques du Lirgen qui scrutaient les étoiles mentionnaient Jaha et reconnaissaient l’importance de cette ville en ruine, à la fois dans le passé et pour le futur. Après la destruction du Lirgen et de la majorité des dirigeants de cette théocratie orthodoxe par l’Œil d'Abendégo, une faction rebelle d’astrologues lirgénites conduisit un groupe de réfugiés séparatistes à Jaha. Les Lirgénites pacifièrent, par le tranchant de leurs épées et de leurs haches, les hommes-lézards primitifs et dégénérés qui occupaient la ville avant de libérer ses édifices en ruine de la jungle.

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Jungle Hurlante

La Jungle Hurlante s’étend à l’horizon comme une mer de terreur verdoyante, au sud du Lac Ocota, de l’autre côté des Collines de Bandu hantées par les esprits. Cet entrelacs d’immenses arbres et de plantes intelligentes mangeuses d’hommes est déstabilisant et doit son nom aux cris des millions de singes qui habitent dans la canopée. Cette cacophonie s’entend à des kilomètres à la ronde et la plupart des voyageurs remarquent les hurlements avant même de voir la jungle.

Kibwe

La ville-oasis de Kibwe, dont l’enceinte est couverte de runes, vit au rythme des tribus d’humains, d’elfes, de géants, de kobolds, d’hommes-scorpions et de créatures encore plus étranges qui s’y rendent pour troquer de la nourriture, des habits et des trésors provenant de l’étendue ou d’ailleurs - comme par exemple de l’ébénite de la Jungle Hurlante, de l’or des profondeurs du Lac Ocota, du verre magique des ruines de Kho, ou des fusils volés à Alkenastre. Il s’agit là de l’unique centre de pouvoir d’une contrée sauvage cauchemardesque encore plus grande que l’Isger et la Druma réunis, composée de jungles, de montagnes, de garrigues, de déserts et de collines arides. Kibwe est le lieu de rencontre habituel de dizaines de milliers de peuples éparpillés. Au centre de la ville, l’Adayeniki, un large pavillon décoré de festons et de tapisseries, accueille à chaque nouvelle lune des danses prénuptiales, des mariages intertribaux ou des rituels de fertilité.

Lac Ocota

Les eaux traîtresses du Lac Ocota s’étendent à des kilomètres au sud de Jaha et abritent de vifs reptiles à la gueule garnie de crocs, des oiseaux incapables de voler et de mystérieuses créatures aquatiques antédiluviennes. Ces prédateurs, au long cou musculeux et aux mâchoires pourvues de dents effilées comme des aiguilles, remontent parfois les rivières du Mwangi et surgissent pour emporter les proies qu’ils trouvent sur les radeaux, les quais ou les berges.

Mzali

Au sud-ouest de la jungle, on trouve la cité de Mzali, peut-être la plus ancienne des ruines du Mwangi et de loin la plus fréquentée. Il y a un siècle, la population de cette grande ville surpeuplée explosa quand des pèlerins vinrent de tout le Mwangi pour observer de leurs propres yeux un phénomène singulier. Les chamans d’une étrange religion, à la fois d’une nouveauté séduisante et d’une ancienneté incroyable, exposèrent les restes momifiés de Walkéna, un enfant prince de la mythique société originelle de l’étendue du Mwangi. Au cours des trente dernières années, la momie s’est animée d’une vie cruelle et donne des ordres aux fidèles de son culte. Elle les pousse à éprouver une folie meurtrière pour les colons de la Sargave et toute influence extérieure au Mwangi et, depuis, c’est la guerre ouverte.

Dans les ruines de Mzali, où le climat est torride, la parole de l’Enfant-Dieu Walkéna fait office de loi. Ce sont les chamans omniscients de son culte qui transmettent sa parole à son peuple. Si on peut mesurer la puissance d’un dieu à la rapidité avec laquelle il répond aux prières et punit ceux qui lui désobéissent, alors Walkéna doit certainement faire partie des divinités les plus puissantes : les pierres elles-mêmes pleurent, les eaux bouillent et les cieux tremblent lorsqu’ils sont en présence de l’Enfant-Dieu sacré et de ses conseillers. Ceux qui ont la faveur de ces chamans excellent dans tous les domaines, de l’habileté sur le champ de bataille au sens du commerce sur la place du marché. Ceux qui mécontentent Walkéna sont attachés à des pieux dans le désert pour subir la « Punition des Sept Soleils en Colère ».

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Nantambu

La pittoresque ville agricole de Nantambu, également appelée la Ville du Vent Chantant, est traversée par une rivière. Cette ville, où les hommes chantent et racontent des histoires en attrapant des poissons et où les femmes décorent leurs cheveux frisés de billes de verre étincelantes, abrite la plus ancienne des académies de magie de Golarion, le Magaambya. Les magiciens qui y sont formés aux arts de la magie reçoivent un enseignement qui remonte à –3502 AR, à l’Âge de l’Angoisse, à l’époque où le Vieux-Mage Jatembe et ses Dix Guerriers Magiques restaurèrent l’enseignement des connaissances dans un monde conquis par la peur et le désespoir. Les combattants qui portent la Marque Écarlate d’Angazhan craignent les mages volants du soleil et des tempêtes issus du Magaambya, et hésitent avant de traverser la rivière Buunta en direction des terres de Nantambu.

Osibu

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Dans les rues pavées d’or d’Osibu, à l’intérieur de la circonférence délimitée par les statues étincelantes que l’on appelle le Cercle des Femmes Doublement Honorées, les cris de la Jungle Hurlante sont momentanément atténués et ses plantes carnivores rebroussent chemin, confuses. Les habitants d’Osibu ne connaissent ni la soif ni la faim. La pluie amène de l’eau fraîche chaque matin et il est facile de cueillir les fruits des arbres de la jungle. Le grand Dimari-Diji, le Dernier Arbre de l’Ancien Monde, est peut-être le plus vieil être vivant de la planète. Il surveille l’ancienne cité d’Osibu et son gouvernement démocratique. C’est là aussi que de grands sylvaniens courbés montent la garde sur le Puits de Némésis et racontent, à tous ceux prêts à l’écouter, les échos de Nom-du-Monde. À Osibu, les sages-femmes pratiquent une forme de médecine inconnue dans le monde extérieur, un art rare fondé sur le mélange d’herbes douces qui semblent allonger la vie pour plusieurs siècles et tenir à l’écart les maladies les plus virulentes.

Portail vers l’Étoile rouge

Ce mystérieux cercle de pierres magnétiques rouges qui émet un bourdonnement est suspendu dans le vide d’une cour effondrée. Il donne son nom aux cathédrales difformes qui l’entourent. Il s’agissait autrefois du siège du pouvoir d’un ancien culte nihiliste appelé la Gorge du Néant, dont les dirigeants disparus laissèrent des bâtiments sinueux à l’abandon. Au cours des siècles qui suivirent, le portail vers l’Étoile Rouge devint la place forte du Roi des Fourmis Mordantes, un ensorceleur qui n’était ni vivant, ni mort, ni même mort-vivant, mais entièrement constitué d’une multitude d’insectes venimeux. Ce mage au masque blanc utilisa cet étrange endroit comme repaire à partir duquel il chercha à dévorer le soleil et à dominer le monde, mais on dit que même lui ne comprenait pas vraiment la puissance du portail.

Ruines de Kho

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La Cité Volante de Kho lors de sa chute

Le cadavre de la fantastique cité rivaine de Kho fait partie des ruines les plus tristement célèbres de l’étendue du Mwangi. Kho était la première des puissantes Cités Volantes et ce fut aussi la première à tomber. Les légendes affirment que la Tarrasque n’est pas étrangère à la chute de la ville dans la Muraille, et que l’on peut lire des indices de cet événement catastrophique dans les griffures qui marquent les ruines des bâtiments les plus imposants.

Terres de Kaava

Les Terres de Kaava comprennent les jungles de l’étendue du Mwangi situées au sud de Baie Sanglante et à l’est de la Baie de Senghor. Depuis longtemps, elles forment un piège mortel pour les explorateurs étrangers comme pour les indigènes. La région grouille de prédateurs et d’humanoïdes vicieux assoiffés de sang, c’est pourquoi elle a été très peu explorée et que les gens l’évitent, en dépit de ses richesses naturelles et de ses alléchantes villes perdues. Car pour chaque dizaine d’aventuriers qui partent de Baie Sanglante et reviennent chargés de gemmes brutes et d’idoles d’or à moitié sculptées récoltées au cœur de la jungle, il y en a une centaine qui ne reviennent jamais. Si la faible humidité du sol et sa consistance plus solide qu’ailleurs permettent de voyager plus facilement que dans les autres parties de la jungle, des tribus de halfelins adorateurs de démons et des pygmées Charau-Ka hostiles, ainsi que d’autres prédateurs plus bestiaux, font rapidement oublier cet avantage.

Usaro

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Dans toute l’étendue Mwangi, on craint les étendards déchirés et les tambours en peau humaine de la sombre et terrifiante Usaro, que les Rois-Gorilles contrôlent depuis des temps immémoriaux. La seule vue des obscures terrasses penchées au-dessus des rives du Lac Ocota fait pleurer et trembler tous ceux que l’on y emmène de force. Le grand Dieu-Roi gorille Ruthazek, maître du Mwangi autoproclamé et fils préféré d’Angazhan, considère la pitié comme le plus précieux des trésors, le plus rare et le plus doux des dons, et il ne l’accorde pas à la légère. Seuls les prisonniers les plus forts ont droit à un peu de pitié, alors que les faibles en sont réduits à danser dans des cages et à faire des tours pour amuser la Cour des Sourires Haineux.

Gouvernement[]

Roi Gorille

Ruthazek, le puissant Roi au Dos Argenté d'Osibu

Même si le puissant Ruthazek, le Roi au Dos argenté d’Usaro, prétend diriger toute l’Étendue Mwangi, ce territoire ne possède aucune « capitale » au sens traditionnel du terme. L’étendue n’a ni gouvernement unifié, ni état ni même de frontières. Il s’agit d’une contrée sauvage, floue et changeante composée de tribus nomades, de mystiques solitaires et de despotes qui contrôlent des cités en ruines grâce au tranchant de leur épée. À cause de cette absence de gouvernement central, et aussi effrayantes qu’elles puissent être, les prétentions au pouvoir de Ruthazek sont légitimes. Le siège du pouvoir du roi-gorille se trouve dans la ville monolithique d’Usaro. Ruthazek est un monarque d’une intelligence surprenante mais d’une égale brutalité. Il règne sur une société de singes assoiffés de sang dotés d’une froide perspicacité appelés les charau-ka. Le roi Ruthazek, le dernier d’une longue lignée de dieux-rois éveillés, est le plus révéré des serviteurs terrestres d’Angazhan, le seigneur démoniaque des bêtes, et il représente une menace majeure pour tous les humains de l’Étendue Mwangi.

Religion[]

Le chamanisme, le Culte des Ancêtres, Angazhan et d'autres Seigneurs-Démons, Gozreh, Lamashtu, Ydersius, et la Verte Religion sont les croyances courantes dans l’Étendue Mwangi. Angazhan est principalement vénéré par les singes conscients du Mwangi. La plupart des Mwangis voient le chamanisme, le Culte des Ancêtres, et le culte de Gozreh comme complémentaires plutôt que contradictoires.

Habitants[]

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Charau-ka du Mwangi, dangereux homme-singe sanguinaire

Les jungles du Mwangi sont peuplées d'Humains, d'Elfes, d'Hommes-Lézards, et de nombreuses tribus non-répertoriées.

Tribus[]

Tribus naines[]

Il y a deux principaux groupes de Nains dans l’Étendue Mwangi, n'ayant aucun contact entre eux.

  • les Mbe'ke, des Terres de Terwa.
  • les Taralu, des jungles orientales.

Tribus elfiques[]

Contrairement à la plupart des Elfes d'Avistan, ceux du Mwangi ne fuirent pas en Sovyrian ou sous terre durant la Chute du Ciel. Au lieu de cela, ces "elfes sauvages" continuèrent à vivre comme ils l'avaient toujours fait.

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Humaine Mwangi

La légende raconte que ces tribus sont les descendantes d'une ancienne nation elfique qui dirigea un jour les jungles septentrionales. Les légendes elfes disent qu'ils vainquirent un jour une Grande Ténèbres, et certains déclarent que les tribus modernes furent laissées derrière pour affronter les Ténèbres lors de leur retour. Les poèmes épiques inscrits en elfique sur les murs de la cité en ruines de Nagisa sont les seules représentations non-orales de cette légende.

  • Les Alijae, des jungles septentrionales.
  • Les Ekujae, des jungles occidentales.
  • Les Kallijae, des jungles nord-ouest.

Autres tribus[]

  • Les Jambala Jaeg
  • Les Kaava
  • Les Uomoto

Langues[]

Les peuples diversifiés du Mwangi parlent généralement le polyglotte, le nanique, l'elfique, et les langues régionales.